Les bénévoles de Saint-Étienne Métropole sont prêts
Depuis le 25 mars dernier, les 300 bénévoles retenus se réunissent régulièrement en prévision de la Coupe du Monde de Rugby France 2023 et des Jeux Olympiques et Paralympiques Paris 2024.
Ils enchaînent les formations pour se préparer.
La « team Saint-Étienne Métropole » est constituée de 300 femmes et hommes qui se sont portés volontaires pour soutenir bénévolement la collectivité, dans l’organisation de ces grands événements qui se dérouleront sur son territoire.
> Découvrez la composition de team bénévoles
L’entraînement, la mêlée et le coup d’envoi !
D’avril à juin, nos bénévoles étaient en formation pour passer le brevet de premiers secours PSC1 pour celles et ceux qui ne l’avaient pas : 7 heures d’enseignements théoriques et pratiques pour acquérir les bons réflexes et prêter assistance aux victimes.
Ils ont également appris les bases de l’accueil d’un public en situation de handicap. C’était la phase « d’entraînement ».
Puis ils sont entrés dans la mêlée le 1er juillet avec un nouvel événement de cohésion d’équipe durant lequel ils ont notamment réalisé un haka géant.
Enfin, ils entreront dans le vif du sujet avec le « coup d’envoi » le 2 septembre, à J-7 du premier match à Geoffroy-Guichard, Italie – Namibie.
Des missions diverses pour la team Saint-Étienne Métropole
Les bénévoles se verront confier des missions d’accueil, d’orientation, de communication, notamment auprès des visiteurs étrangers. Ils pourront aussi :
- aider au montage et au démontage de structures comme le village rugby,
- guider vers les espaces de stationnement,
- être un point de ressource, en ville, pour accueillir au mieux les contingents de supporters.
Ils en parlent
Ambiance !
Vous pouvez compter sur ce fervent supporter de l’Aviron Bayonnais pour assurer l’ambiance ! « J’ai plus de 60 ans de fêtes de Bayonne à mon actif ! J’adore cette ambiance de chant, de convivialité, de partage, que je retrouve dans le rugby… et que j’avais vécue à Saint-Étienne lors de la Coupe du Monde 1998. »
Fondateur du club de karaté de Cellieu dont il est toujours professeur, bénévole pour des événements comme le festival couramiaud « La Rue des Artistes », Henri a l’habitude de donner de son temps pour les autres, et apprécie le programme d’accompagnement mis en place par Saint-Étienne Métropole.
« J’ai vu des gens de tous les horizons, de nationalité, d’âge, de sexe, de parcours différents. C’ést très agréable. Les rendez-vous sont très bien organisés, les formations de qualité. »
Être utile
« Organiser de tels événements, c’est un travail acharné pour que les spectateurs vivent un moment de rêve pendant quelques minutes. Mais la frontière est parfois étroite entre passer un moment extraordinaire et ne retenir que le petit grain de sable. J’ai envie de contribuer, même de manière infime, à ce moment magique. Enlever le grain de sable ! Et puis je veux être au coeur de l’engouement général. Il va y avoir, pendant un mois, une ambiance qu’on connaît rarement ! »
Côté formations, Mélisa est également enthousiaste : « Je suis très agréablement surprise du programme mis en place par Saint-Étienne Métropole, nous sommes vraiment très bien accompagnés. On sent qu’on est là pour nous, avec des formations qui mêlent bien théorie et pratique. Et ce sont des savoirs qui peuvent nous servir à n’importe quel moment, même demain dans la rue ! »
Un air de famille
Chez les Fraisse, le bénévolat est une affaire de famille. Céline et Laurent ont embarqué beau-frère et belle-soeur dans l’aventure Coupe du Monde de Rugby France 2023.
« Ça va être l’occasion de participer à un événement reconnu mondialement et de représenter Saint-Étienne.»
Laurent, qui avait en poche les sésames pour assister aux 4 rencontres qui auront lieu à Geoffroy-Guichard, a même fait une croix dessus !
« Je vais en faire profiter quelqu’un d’autre. Je préfère participer à ce genre d’événements de l’intérieur, ce n’est pas si souvent qu’on en a l’occasion. Nous avons suivi les premières formations proposées dans le cadre du programme bénévoles, elles sont un gros plus. Elles mettent en confiance pour agir sur le terrain, avoir les bons réflexes. Elles abordent des cas très concrets et sont délivrées en petit groupe, ce qui permet d’avoir plus facilement des échanges. On voit que la Métropole y met les moyens, c’est bien ! »
