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Filet anti-déchets dans la rivière

Pollution des rivières, comment préserver la qualité de l’eau ?

Activités agricoles, industrielles ou domestiques, incivilités… Nos rivières subissent diverses pollutions au quotidien. Découvrez comment Saint-Étienne Métropole agit pour préserver la qualité de l’eau. 

Les types de pollutions

Connaissez-vous les différentes pollutions auxquelles nos rivières sont exposées ? Les voici :

  • agricoles (pesticides, engrais, fumiers, nitrates, etc.)
  • industrielles (rejets accidentels de produits chimiques),
  • « domestiques » (rejets des eaux usées issues de nos stations d’épuration),
  • liées aux incivilités (vidanges et dépôts sauvages, mégots, etc.).

Comment les contrecarrer ?

Travaux, sensibilisation, solutions clés en main.. La Métropole agit à plusieurs niveaux pour lutter contre ces pollutions.

Pollutions agricoles

  • Réalisation d’études par bassin versant, pour identifier les types de pollution.
  • Sensibilisation des agriculteurs, afin de faire évoluer leurs pratiques agricoles.

Pollutions industrielles

  • Trois agents sont spécialement chargés de sensibiliser les industriels du territoire.
  • ors de visites régulières, ils réalisent des diagnostics sur les déchets, leur stockage et leur traitement.
  • Ils proposent des solutions pour sécuriser les process, les systèmes de vidange, le traitement des rejets et le stockage des produits dangereux.

Pollutions domestiques

  • Renouvellement des réseaux pour éviter les fuites dans le milieu naturel.
  • Mise en séparatif des réseaux d’eaux usées et d’eaux pluviales pour limiter les rejets accidentels lors d’épisodes pluvieux.
  • Amélioration des performances des stations d’épuration, qui traitent les eaux usées avant leur rejet.

Pollutions liées aux incivilités

  • Installation de cinq filets anti-déchets, sur des canalisations d’eaux usées et sur certains réseaux d’eaux pluviales.
  • Ces filets retiennent les déchets charriés dans les eaux pluviales, évitant leur dispersion dans le milieu naturel.
  • Ils sont relevés selon les besoins, en moyenne tous les deux mois.
Une femme qui analyse l'eau