Quand des élèves ingénieurs étudient les Vélivert
Jusqu’à fin janvier 2026, quatre étudiants de l’école des Mines planchent sur Vélivert. Objectif ? Imaginer des solutions innovantes pour améliorer le service de vélos électriques en libre-service de Saint-Étienne Métropole.
Vélivert c’est un service qui a trouvé son public et rend…service à plusieurs milliers d’usagers chaque jour. Mais, aussi efficace qu’il soit, le service peut encore être perfectionné. Pour explorer ses pistes d’amélioration, Saint-Étienne Métropole a fait appel à 4 élèves ingénieurs de l’École des Mines.
Des projets concrets pour booster Vélivert
Depuis fin octobre 2025, ces étudiants ingénieurs travaillent sur trois sujets pour rendre ce service de mobilité douce encore plus performant :
- l’auto-alimentation des stations de chargement via énergie solaire
- la réalisation d’un pied d’atelier plus adapté aux Vélivert pour les réparer plus facilement et efficacement,
- l’optimisation du système électronique embarqué.
Une collaboration gagnant-gagnant
Pour Tom Varlet, étudiant en troisième année, le projet est une opportunité unique :
« Ce projet fait partie du cursus. Il permet de nous confronter à une problématique concrète rencontrée par une entreprise ou une collectivité. Les spécialités que j’ai choisies à l’école sont la mécanique et la bio-médecine. Avec ce projet, je vais pouvoir développer des compétences supplémentaires ! ».
La Métropole, elle, bénéficie du savoir-faire de ces jeunes talents et de leurs encadrants. Tom explique : « à l’école, un référent est dédié à notre projet. Et libre à nous de solliciter également d’autres professeurs sur des aspects particuliers. »
Des perspectives nouvelles
Stations solaires dans des zones éloignées ou dépourvues du réseau, implantations temporaires pour des événements ponctuels, stations « test » pour évaluer l’opportunité, ou non, d’installer une station pérenne… Les idées ne manquent pas !
Ces innovations pourraient ouvrir la voie à un service plus flexible et plus écologique.
