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À Saint-Étienne, il y a d’excellentes écoles.

Ils se sont rencontrés à l’École des Mines de Saint-Étienne, y ont étudié… et ne se sont plus quittés ! Mariés et à la tête la société Boa Concept, Jean-Lucien Rascle et Chantal Ledoux sont le parfait exemple de deux non-Stéphanois ayant choisi de se former, de créer leur entreprise et de vivre à Saint-Étienne Métropole.

Pourquoi avez-vous choisi l’École des Mines de Saint-Étienne ?

Chantal Ledoux

C’est le contenu de la formation qui m’a convaincue : il y avait un département informatique, et en même temps l’école développait une approche généraliste.

Jean-Lucien Rascle

C’est aussi ce qui m’a attiré. Contrairement à d’autres écoles, on ne se spécialisait pas dès la première année. L’autre avantage, c’est qu’il y avait la Maison des élèves, qui permettait d’avoir un appartement meublé en résidence. Donc de ne pas s’embarrasser avec la question du logement, tout en restant « entre nous ».

Qu’est-ce que votre cursus à l’École des Mines de Saint-Étienne vous a appris ?

Chantal Ledoux

Il y avait une vraie autonomie laissée aux élèves. Nous pouvions choisir ce qui nous intéressait. Liberté qu’on pouvait mettre à profit pour approfondir certains sujets et matières qui nous plaisaient.

Jean-Lucien Rascle

Le niveau était très élevé.

Je me souviens de beaucoup de travail, mais de travail plaisant. On discutait et on rencontrait des gens d’horizons différents. C’était sérieux sans se prendre au sérieux.

Quels souvenirs gardez-vous de Saint-Étienne et de sa vie étudiante ?

Jean-Lucien Rascle

Saint-Étienne a la chance d’avoir des environs très très sympas ! J’adorais l’escalade et il y avait des coins équipés pour cela. J’avais aussi des copains qui faisaient pas mal de kayak. Vous êtes à 20 minutes de trouver tout un tas de super activités à faire, et autre chose que juste du foot ! C’était un vrai plus, et plus intéressant que de se retrouver en région parisienne. J’ai aussi le souvenir de sorties ski de fond en hiver dans le Pilat.

Pourquoi avoir créé et développé votre entreprise à Saint-Étienne ?

Chantal Ledoux

Nous voulions travailler et vivre dans une ville de province de la taille de Saint-Étienne. En 1990, nous avons créé notre première entreprise. On était sur la région et on y était bien : vous êtes près de tout, les gens sont sympas… Il n’y avait donc pas de raisons de partir. Et puis c’est une ville à taille humaine, ce qui permet de nouer rapidement des relations avec les financiers ou les politiques. Nous n’avons jamais regretté.

Quel regard portez-vous sur la qualité des formations à Saint-Étienne ?

Jean-Lucien Rascle

En matière de recrutement, ici vous trouvez ce que vous voulez. Pour une ville moyenne, c’est assez rare : vous avez 3 écoles d’ingénieurs, une université, une école de commerce, une fac de médecine…

Ça fait un terreau extrêmement riche ! Il n'y a pas besoin d'aller recruter à Lyon, Marseille ou Paris.

Chantal Ledoux

C’est aussi dû au passé de Saint-Étienne. Il y a un écosystème industriel historiquement implanté et fortement développé. C’est aussi pour cette raison qu’il y a ces écoles ici et ce savoir faire.

Que diriez-vous à un bachelier qui hésite à venir faire ses études à Saint-Étienne?

Chantal Ledoux

Il y a d’excellentes écoles à Saint-Étienne. Il ne faut pas se dire que, parce que ce sont des écoles de province, le niveau sera moins bon. La qualité de l’enseignement est bonne. Et il ne doit pas s’arrêter aux mauvais a priori.

Saint-Étienne a tous les atouts.

Jean-Lucien Rascle

C’est une ville verte, agréable à vivre, la périphérie est sympa et les gens sont très ouverts.

Le cadre de vie est beau, l'enseignement est bon, la vie n'est pas chère et tout est à proximité. 

Il n’y a pas besoin de faire des heures de déplacement pour trouver ce que l’on veut.

Les raisons d’étudier à Saint-Étienne

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