Diplômés de nos grandes écoles et vedettes de notre campagne d’attractivité 2024
L’an dernier, une nouvelle étape a été franchie avec 30 000 étudiants présents à Saint-Étienne Métropole. L’ambition : atteindre le seuil de 40 000 étudiants d’ici 2035.
C’est dans ce cadre que s’inscrit la campagne 2024 d’attractivité étudiante de Saint-Étienne Métropole. Elle met à l’honneur 6 diplômés d’établissements d’enseignement supérieur stéphanois.
Mettre en avant la réussite professionnelle d’anciens diplômés
Ceux qui parlent le mieux de la qualité de vie pour les étudiants à Saint-Étienne, et de son environnement propice à la réussite, c’est encore celles et ceux qui sortent de nos grandes écoles d’enseignement supérieur stéphanois diplômes en poche.
Mi-décembre, dès l’ouverture de la plateforme ParcoursSup, Saint-Étienne Métropole a lancé au niveau national une nouvelle campagne d’attractivité étudiante.
Pilotée par la Direction de la communication et du marketing territorial de Saint-Étienne Métropole, elle met sur le devant la scène six anciens diplômés d’établissements d’enseignement supérieur qui sont aujourd’hui entrés dans la vie active.
Ils sont nés sur le territoire ou l’ont choisi pour leurs études, ils sont fiers de leur Ville et de leur Métropole… et ils le disent haut et fort.
La preuve par l’exemple
« Notre objectif, explique Christophe Faverjon, vice-président de Saint-Étienne Métropole en charge de l’enseignement supérieur, est d’amener la preuve par l’exemple, qu’à Saint-Étienne, l’écosystème d’accueil des étudiants et l’environnement dans lequel ils évoluent est propice à leur réussite, tant sur le plan académique que pour leur entrée dans la vie professionnelle. »
Et l’élu d’ajouter : « Nous avons des atouts majeurs, poursuit Christophe Faverjon : une université pluridisciplinaire, 15 écoles d’excellence nationale, une offre de services dédiée, un accès facilité aux transports, aux sports et à la culture, un sens de l’accueil qui fait partie des fondamentaux de notre territoire. Ce sont tous ces arguments, que nous valorisons à travers des témoignages. »
Des profils identifiés avec le soutien des établissements d’enseignement supérieur
Les six diplômés qui ont accepté de prêter leur image à cette campagne ont été identifiés en étroite collaboration avec les établissements d’enseignement supérieur stéphanois.
« Depuis cinq ans désormais, Saint-Étienne Métropole anime un groupe de travail avec les établissements sur l’attractivité étudiante », explique Olivier Barbé, directeur de la communication et du marketing territorial de Saint-Étienne Métropole. « Cette collaboration étroite a permis de lancer un travail approfondi en matière de marketing territorial sur cette thématique ».
Thibaut Larrouturou
Formé à la faculté de droit de l’Université Jean-Monnet, Thibaut Larrouturou enseigne aujourd’hui dans l’une des universités les plus prestigieuses du monde. Il considère sa formation, et tout l’environnement dans lequel il a baigné au cours de ses années d’études, comme deux des facteurs clés de sa réussite.
Charlotte Goffette
Native de Belgique, Charlotte Goffette est venue à Saint-Étienne pour étudier à l’École supérieure d’art et design Saint-Étienne (Ésadse). Et c’est à Saint-Étienne qu’au sortir de ses études, elle a installé son atelier. « Mes années d’études à Saint-Étienne m’ont apporté de l’assurance et permis d’asseoir ma personnalité », témoigne-t-elle.
Corinne Autant-Bernard
Directrice de la Saint-Étienne School of economics, Corinne Autant-Bernard a connu l’Université Jean-Monnet de Saint-Étienne d’abord comme étudiante puis comme professeure. Elle reçoit aujourd’hui les retours de ses propres étudiants, « unanimes », dit-elle, « sur la qualité de la vie étudiante à Saint-Étienne ».
Dimitri Roussel
Il est à la tête d’une prestigieuse agence d’architectes qui porte d’ailleurs son nom : Dream, comme Dimitri Roussel Ensemble Architecture Métropole. Une agence qui a réalisé, pour Paris 2024, une partie du Village des athlètes des Jeux olympiques et Paralympiques. Aujourd’hui parisien, il revendique sa formation stéphanoise. « Pour faire des études, Saint-Étienne a quelque chose de rassurant », dit-il.
Chantal Ledoux et Jean-Lucien Rascle
Chantal Ledoux et Jean-Lucien Rascle se sont rencontrés à l’École des Mines de Saint-Étienne et sont aujourd’hui à la tête d’une grande entreprise industrielle. Ils se sont formés à Saint-Étienne, ont investi à Saint-Étienne, ont développé leur affaire à Saint-Étienne. Et ils nous disent pourquoi.
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